4e de couverture :
Dans un vieil hôtel de Montevideo, Petrone est réveillé toutes les nuits par les pleurs d'un enfant qu'il entend à travers la porte qui communiquait jadis avec la chambre voisine. Pourtant le gérant lui assure qu'il n'y a pas d'enfant à l'étage, ni même dans l'hôtel... Lorsque la banalité du quotidien prend soudain une dimension aussi inattendue qu'inquiétante, Julio Gortazar nous fait basculer dans son étonnant univers.
Mon avis :
J'avais adoré la nouvelle "Propriété d'un fauteuil" que l'on trouve uniquement sur Internet (http://www.tierslivre.net/faceB/spip.php?article36). Une merveille de petite nouvelle. Alors, j'ai voulu aller plus loin et faire la connaissance de ce monsieur Cortazar. Je ne suis pas déçue. Un petit mélange de réel et de fantastico-surnaturel rend ses histoires délicieuses. Il faut se plonger dans son univers. C'est vrai, par moment cela n'a ni queue ni tête mais en prenant le temps de se représenter la scène dans son esprit, le plus improbable devient réalité.
Une très belle découverte.
Ma note : 3,5/5
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