mardi 21 février 2017

Je communique avec les défunts = Alain Joseph Bellet

Confronté depuis l’âge de six ans à des phénomènes paranormaux, Alain Joseph Bellet raconte dans ce récit autobiographique la naissance et l’évolution de ses facultés médiumniques, mais aussi ses difficultés à les accepter et à les partager. Une histoire jalonnée d’événements extraordinaires, qui semblent attester de l’existence d’un au-delà.
Manifestations, révélations, perceptions ont orienté et guidé son existence. Au fil des années, Alain Joseph Bellet est parvenu à reconnaître ce don comme une chance qu’il met au service de ceux qui souffrent de la perte d’un être cher.
« Je me fonde sur les contacts et messages de l'au-delà que je reçois pour vous dire que nos chers disparus nous parlent bien souvent de “la relation à l'autre” et des regrets qu'ils ont de ne pas avoir été dans l'Amour Inconditionnel. », dit-il. En consultation comme lors de ses conférences, il montre qu’il communique avec les défunts et peut ainsi transmettre à leurs proches de précieux messages. (Amazon)

Mon avis : 
Vraiment très impressionnant ce récit. On comprend les douleurs que peuvent éprouver ces personnes dotées de ce don qui leur est tombé sur le coin du nez. Joseph Bellet nous explique clairement les différents phénomènes vécus et combien il est difficile pour un médium, un vrai, de vivre avec cette capacité. 
Un témoignage très intéressant qui nous permet de faire la part des choses entre charlatans et vendeurs de rêves. 

Ma note : 4/4

mercredi 15 février 2017

Le vicomte pourfendu = Italo Calvino

Que se passe-t-il lorsqu'un homme rentre de la guerre avec seulement la moitié droite de son corps ? Quelle vie peut-il espérer mener ? Quelle possibilité s'offre à lui quand sa seconde moitié réapparaît ? Et quelle morale doit-on tirer de cette histoire ? Vous le découvrirez en lisant l'histoire du vicomte Médard de Terralba qui est confronté aux deux parties de son être, l'une qui ne cherche qu'à faire le mal et l'autre qui pèche par excès de bonté. Conte philosophique qui fait la part belle à l'humour, ce récit permet d'approfondir l'étude du texte narratif, de travailler l'argumentation et de revoir les notions de merveilleux et de fantastique. Premier volet d'une trilogie, gageons que ce conte donnera aux élèves l'envie de connaître les deux autres. (Amazon)

Mon avis :
Que dire si ce n'est un texte un peu casse-pied à lire ?  Un peu tordu pour moi. 
On aborde la notion du bien et du mal, de la vérité et de l'illusion... j'ai eu beaucoup de mal à me poser avec livre. Peut-être faudrait-il le relire à tête reposée? Oui, je pense ;)

Ma note : 2/5

Ne dites pas à ma mère que je suis voyante = Eileen Cook

On dit souvent que l'amour rend aveugle. Pas dans le cas de Sophie Kintock, qui, après une rupture, se découvre un don de double vue jusque-là insoupçonné! Quand Doug la quitte après six ans de vie commune, Sophie, libraire à Vancouver, est prête à tout pour le récupérer. C'est pourquoi, lorsqu'elle apprend que sa nouvelle petite amie, la pulpeuse Melanie, s'intéresse au paranormal, elle a une idée aussi folle que diabolique : proposer à sa rivale une fausse consultation de voyance destinée à faire rompre les tourtereaux. Mais rien ne va se passer comme prévu, car Sophie se retrouve vite dépassée par le succès inattendu de ses nouveaux talents... Eileen Cook signe une comédie désopilante portée par une héroïne au caractère bien trempé, maladroite et attachante à souhait.(Babelio)

Mon avis : 
Petit roman très sympa et plein d'humour. Le sujet de la voyance y est abordé avec beaucoup d'intelligence, ce qui rend le récit fluide et agréable à lire. Que ne ferait pas une femme qui a été jetée par son mec pour le récupérer ? 
A lire pour un bon moment de détente même si on en devine la fin... quand on aime, on ne compte pas :)

Ma note 5/5

Oscar et la dame rose = E.E.Schmitt

Oscar a dix ans et il vit à l'hôpital. Même si personne n'ose le lui dire, il sait qu'il va mourir. La dame rose, qui le visite et " qui croit au ciel ", lui propose, pour qu'il se sente moins seul, d'écrire à Dieu. A travers cette correspondance originale, le récit aborde, du point de vue de l'enfance, des questions philosophiques et existentielles : la maladie, la souffrance, le passage de la vie à la mort, la rencontre avec l'autre et avec le mystère... Les nombreux passages de paroles rapportées permettront aux élèves de réfléchir, en même temps que les personnages, à ces interrogations fondamentales et de découvrir ou d'approfondir les techniques du dialogue argumentatif. En outre, l'appareil pédagogique est suivi d'une interview exclusive d'Eric-Emmanuel Schmitt. (Amazon)

Mon avis :
C'est toujours un plaisir de lire E.E.Schmitt même si les sujets abordés ne sont pas forcément gais. Une fois de plus, le sujet de la mort est abordé et cette fois à travers un enfant atteint d'une maladie grave et incurable. Tout son parcours est relaté avec philosophie et il nous apprend aussi le pardon que nous avons tant de mal à appliquer.
C'est la deuxième fois que je le lis et j'ai pris beaucoup de plaisir à me replonger dans l'histoire.

Ma note : 5/5

Jiazoku = Maëlle Lefèvre

Kabuchiko, le quartier le plus dangereux de Tokyo, territoire des yakusas. Daisuke, membre du redoutable clan Kobayashi, dirige un vaste rés...