jeudi 28 avril 2016

Les vacances = La Comtesse de Ségur

L'été est enfin arrivé, avec son lot de drames, de bêtises et de joies ! Pour les vacances, Camille, Madeleine, Marguerite et Sophie se trouvent réunies avec leurs trois cousins au château de Fleurville. À bâtir des cabanes, chasser les papillons et courir dans les bois, on ne voit pas le temps passer... (Amazon)

Mon avis : 
Quelle fraîcheur !!! Franchement ça fait du bien de se replonger dans cet univers. On y retrouve les bonnes manières, une bonne éducation et en ce qui concerne le style : un français magnifique!!
J'ai beaucoup apprécié ce moment de lecture qui m'a donné envie d'aller fouiner dans la bibliothèque dans l'espoir de remettre la main sur Les Petites Filles Modèles. 

Ma note : 3,5/5

Quand l'empereur était un dieu = Julie Otsuka

Berkeley, printemps 1942. Une femme et ses deux enfants se préparent à quitter leur maison. Ils ne savent ni où ils vont, ni ce qui les attend. Ils ont seulement appris qu'ils avaient le droit d'emporter avec eux des draps, des couvertures, du linge de maison, des couverts, des assiettes, des bols, des tasses et des vêtements. Leur crime ? Ces paisibles Américains sont d'ascendance japonaise. Après un voyage éreintant qui les mène à Topaz, ils découvrent l'environnement qui sera le leur pendant plusieurs années : un camp envahi par la poussière blanche du désert, des centaines de baraques en papier goudronné écrasées sous un soleil de plomb, des soldats en arme, des fils de fer barbelé, la promiscuité, la sonnerie des sirènes, les jours sans viande, l'odeur des haricots et les repas sans baguette. Il leur est interdit de se chauffer l'hiver, ils sont condamnés à des travaux forcés. Après Hiroshima, les survivants retrouvent leurs habitats vidés de fond en comble et leurs jardins dévastés, subissent l'hostilité de leurs voisins et peinent à trouver du travail. Après tant d'années perdues loin de chez eux, le conflit continue... (Amazon)

Mon avis : 
On ne parle jamais des Japonais qui ont été déportés suite à l'attaque de Pearl Harbor et pourtant les camps de concentrations pour ces gens-là existaient bel et bien. 
Le roman relate l'histoire d'une famille japonaise implantée aux US qui a dû quitter sa maison pour être envoyée loin, dans un désert, afin de rejoindre d'autres Japonais innocents. Qu'allaient-ils devenir ? Ils n'en savaient rien. C'est seulement à la fin de la guerre que chacune des familles a pu regagner son foyer. Certaines retrouvaient leur maison intacte, d'autres moins chanceuses se retrouvaient sans toit. 
La lecture de ce roman n'est pas très agréable à cause de la lenteur du déroulement des évènements. On se perd dans les souvenirs et on en oublie le moment présent. 

Ma note : 4/5

La chambre des morts = Franck Thilliez

En pleine nuit, au milieu de nulle part, un homme surgit et se fait renverser. A ses côtés, un sac rempli de billets. Voleur ? Trafiquant ? Peu importe. Deux millions d'euros, là, à portée de main. Aucun témoin. Que faire ? Appeler la police, ou disparaître avec l'argent ? Vigo et Sylvain, jeunes informaticiens au chômage, ne tardent pas à se décider. Le lendemain, une fillette aveugle est retrouvée morte dans un entrepôt. Peu après, une autre est enlevée. Diabétique. Ses heures sont comptées. Et si le magot n'était autre que la rançon destinée à sauver la vie d'une gamine ? (Amazon)

Mon avis : 

Je m'attendais à quelque chose de plus dur à lire de plus terrible ou horrible. Mais ça passe bien grâce à la plume de l'auteur. Le suspens est déjà présent dès les premières pages et il ne vous lâche plus jusqu'au bout. 
C'était mon premier roman de cet auteur et je ne regrette pas de l'avoir lu

Ma note : 4/5

Jiazoku = Maëlle Lefèvre

Kabuchiko, le quartier le plus dangereux de Tokyo, territoire des yakusas. Daisuke, membre du redoutable clan Kobayashi, dirige un vaste rés...