mardi 22 juillet 2014

Les quatre vies du saule

Présentation de l'éditeur
En Chine, le saule pleureur symbolise la mort et la renaissance. Faut-il croire qu'une branche de saule puisse devenir une femme condamnée à poursuivre l'amour de siècle en siècle ?
En quatre périodes qui sont autant de Chine différentes, Shan Sa conte l'épopée de ces âmes errantes. D'un Pékin bruissant dans les songes et la poussière aux silences de la Cité interdite, de l'ère des courtisanes vêtues de soie à la Révolution culturelle, des steppes où galopent les Tartares aux rizières qu'arrose le sang des gardes rouges, Shan Sa met en scène la passion : deux êtres qui se cherchent et se perdent. Tout les sépare. Toutes les tragédies d'un peuple ancien. Dans ce tumulte, il faudrait un miracle pour les réunir...
Roman d'amour ? Oui. Mais ce roman lyrique est aussi une traversée de la Chine éternelle. On y croise fantômes et guerriers. Femmes aux pieds bandés. Hommes qui chassent le faucon à l'épaule. Procès politiques et banderoles qui brûlent. Pagodes oubliées dans une forêt de gratte-ciel.
C'est une fable qui a parfois le goût du thé amer.
Quatrième de couverture
En Chine, le saule pleureur symbolise la mort et la renaissance. Faut-il croire qu'une branche de saule puisse devenir une femme condamnée à poursuivre l'amour de siècle en siècle ? D'un Pékin bruissant dans les songes et la poussière au silence de la Cité interdite, de l'ère des courtisanes vêtues de soie à la Révolution culturelle, des steppes où galopent les Tartares aux rizières qu'arrose le sang des gardes rouges, deux êtres se cherchent et se perdent. Tout les sépare. Toutes les tragédies d'un peuple ancien. Dans ce tumulte, il faudrait un miracle pour les réunir... Roman d'amour ? Oui. Mais ce roman lyrique est aussi une traversée de la Chine éternelle. C'est une fable qui a parfois le goût du thé amer. (Amazon)


Mon avis :
Quatre histoires courtes que l'on pourrait comparer à des contes philosophiques plein de poésies. Aussi réels que fantastiques et malgré la souffrance que décrit subtilement l'auteur en empruntant à la poésie une rêverie qui vous laisse songeur vous prolongez volontiers votre voyage.
"Elle était une goutte de miel dans une vie qui ressemblait à du thé vert." (P24)  telle est l'univers dans lequel on nous plonge dès les premières pages.
Amis rêveurs, je vous invite à lire ces histoires aussi belles que cruelles pour certaines.

Ma note : 3,5/5

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